Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

My Legoland part 3

Publié le par Vydok

Suite et peut-être fin de nos voyages dans le temps à la rencontre des Lego qui ont meublé mon enfance. Je ne pense pas me souvenir exactement de chaque modèle que j'ai eu, et les derniers que je vous montre ici semblent être les seuls qu'il reste dans ma mémoire bien abimée par le travail et le temps...
Attachez vos ceintures, je vous emmène une fois encore dans le Temps.


C'est le modèle n° 6949, apparu en 1994 dans le monde des Lego, le "Robot Guardian".
C'est le premier d'une petite série de legospace nouvelle génération que j'ai eu dans ma jeunesse. Ce robot comportait un bras-pince et un autre aimanté, pratiques pour soit attraper des boîtes aimantées comme celle qu'il comporte à sa base, soit pour pulvériser d'une pression un astronaute hostile...
Le robot inclu également un mini scooter de reconnaissance pour son pilote, mais le mastodonte peut évoluer dans sa zone de garde sans commandement humain: tout est prévu dans sa tête pour prendre le relais quand le pilote s'en va à l'avant pour espionner l'ennemi qui approche...
La tête en question est amovible, pouvant s'éjecter en cas d'avarie sérieuse du robot, qui ne se laissera pas démanteler sans riposter avec les doubles canons laser qu'il porte à chaque bras.
Ses 10 roues (5X2) lui permettent d'avoir un couple remarquable pour franchir les obstacles les plus entravants, pour surgir sur tout terrain et anéantir la menace qui rôde ou qu'elle soit...
Que d'heures de jeu avec cet engin, jusqu'au jour ou la vie lui fit perdre des pièces au point de ne plus pouvoir être remonté intégralement... Les enfants devraient avoir dès la naissance la notion d'organisation.

Toujours dans le même registre:

Certains verront ici un vaisseau martien sorti tout droit de l'imagination des scénaristes des années cinquante. C'est le cas, sauf pour l'année.
C'est le modèle dit "Saucer Scout", "saucer" étant le terme qu'on utilise aux USA pour désigner les soucoupes volantes ("flying saucer").
Il date de l'excellente année 1994 lui aussi, et porte fièrement le numéro 6835.
Petit vaisseau comparable à celui de "La Denhrée", ami de Louis de Funès venu d'ailleurs dans "La Soupe aux Choux" (faut-il le nommer?!), cette capsule tournoie sur elle-même à l'aide de ses quatres propulseurs. On se demande encore comment le pilote s'y retrouve avec tous ces tourbillons...
En position allongée, il se sert de l'unique canon laser au sommet de la coupole pour se défendre. Ce vaisseau n'est pas conçu pour le combat, ni même pour la reconnaissance, mais plutôt comme messager ou bien comme leurre afin d'attirer les ennemis loins de la zone de combat prévue, pour diminuer leur nombre...
A force d'avoir la tête qui tourne, le cerveau du pilote fini par perdre tout discernement, et le convoi fini en kamikaze...
Un petit set sympa à monter pour de petites mains, pas compliqué et complémentaire de ce qui suit.


Là, c'est du lourd! Planquez vous! Cet engin ne vous fera pas de cadeau!!!
C'est le "Saucer Centurion", cent fois plus gros et plus armé que le microscopique "Saucer Scout"... Conçu en 1994 (très bon cru), il est immatriculé au numéro 6939.
Monstre de rapidité, de puissance stellaire et de force de frappe, mieux vaut ne pas avoir affaire à la "bête".
Impressionnant à l'époque et avant garde de la série "Star Wars", ce vaisseau m'a donné du fil à retordre au montage, la première fois.
Surabondant de propulseurs (4 latéraux en 2X2, 4 à l'arrière et 2 fusées d'hyper-espace en queue.), il peut arriver dans la minute aux confins du vide infini pour mettre une bonne raclée aux vilains envahisseurs.
L'armement a de quoi faire trembler: 2 générateurs laser, 2 lance missiles protoniques, 2 antennes ionisantes et une pince géante...
Le pilote, bien protégé par son cockpit blindé, est assisté de son fidèle robot mécano-guerrier qui peut s'éjecter du vaisseau, à cheval sur un module autonome à 8 roues et protoniseur à gogo!
L'Etoile Noire fait rire à côté de lui...

 

En parlant de base, voici le centre spatial de ma courte série de legospace new age.
C'est le "Lunar Launch", mis en service lui aussi en 1994, au numéro de code 6959.
Il y a tout ce qu'il faut pour accueillir ma flotte et se défendre en cas de besoin:
Le QG permet à l'amiral de commander les troupes par Internet galactico-radiophonique, le module au sol et le saucer en l'air assurent la garde, le robot à tout faire a un grand rôle à jouer, et la montagne se coupe en deux pour dévoiler à la face du monde spatial la terrible fusée nucléo-atomiseuse, ou le satellite, au choix...

En dehors de cette série, il me reste deux petits modèles à montrer:


Un vaisseau "sui generis" comme on dit chez moi, inclassable. Je n'ai pas sû déterminer à quelle série il appartient, alors je le mets avec ma flottille.

 

C'est le "Hovertron" de 1996, numéroté 6815. Plus sophistiqué que les vieux Saucer, mais moins protecteur pour le pilote, il comporte deux propulseurs, un capteur photovoltaïque pour recharger les batteries, un émetteur radio et un guidon ergonomique pour un plus garnde maniablité. Pas d'armes, Legospace s'est pacifié en deux ans...

Et le petit dernier, qui n'a rien en commun avec le reste... ou plutôt si: il explore d'autres contrées hostiles, les glaces:


Si vous ne savez pas faire de ski, le "Celestial Sled" est fait pour vous!
Conçu en 1993 pour skier à votre place (il comporte quatre skis), ce véhicule rapide est un croisement entre un patrouilleur stellaire et une moto-neige.
Son pilote est grni de technologies high-tech, tel qu'un émetteur radio surpuissant, une tronçonneuse à rayon et des skis en plus pour avoir un jour sa première étoile!
Tout pour des vacances commando dans les Alpes!

Voilà! Jusqu'à nouvel ordre les voyages legonesques temporels s'arrêtent! Si je retrouve des modèles dans les méandres de mes hémisphères délabrés et du Net, vous le saurez!
Mais Backintime continue, avec bientôt d'autres articles conjugant les Lego et Retour vers le Futur...

                                                                                                                        To be concluded...
Commenter cet article
N
Tu as entièrement raison ! Mais j'avoue ne pas comprendre les fous de Legos qui refusent de nous rejoindre... On ne fait rien signer, pas de demande en mariage, on réclame pas de chèque, on est pas des tueurs en série... Bizarre...
Répondre
N
Salut Vydok, j'ai lancé une petite campagne de recrutement pour Legoland Fever et nous avons gagné un membre, un autre réfléchit et... deux autres n'ont pas répondu... Bon, c'est pas si mal ! Je mets les coordonnées des nouveaux bientôt sur la communauté, A+ et à bientôt !
Répondre
V
<br /> Cool! ça commence à être à la mode ce qu'on fait!! Et dire qu'il n'y a pas si longtemps on était 2...<br /> <br /> <br />